
Nous partageons les larmes, la tristesse et la douleur du Liban,
et de tous les pays du Moyen Orient et d’ailleurs, où règne le chaos.
à Beyrouth, un salut de mon cœur, à Beyrouth,
et des baisers à la mer et aux maisons,
à un rocher qui ressemble au visage d’un ancien marin.
Elle est, de l’âme du peuple, du vin ; Elle est, de sa sueur, pain et jasmin.
Mais comment est devenu son goût… un goût de feu et de fumée…
à Beyrouth, la gloire des cendres, à Beyrouth,
du sang d’un enfant, porté plus haut que sa main.
Ma ville a éteint sa lanterne, a fermé sa porte.
Elle est devenue dans la soirée seule…
Seule face à la nuit…
Tu es à moi, tu es à moi, Ah enlace-moi, Tu es à moi.
Mon drapeau, et la roche de demain, et les vagues des voyageurs.
Elle a montré les blessures de mon peuple,
Elle a montré les larmes des mères…
Tu es à moi, tu es à moi, Ah enlace-moi.
Texte traduit par Sarah B. D.